Hello à tous,

Moi c’est Sylvain, je suis le co-fondateur du groupe ACHETEUR DE MAISONS avec mon frère Benoit.

Mon histoire, c’est l’histoire d’un jeune sportif né aux Etats-Unis qui a fait du tennis toute sa vie. Notre père nous a toujours éduqué en nous disant que la priorité, c’était les études. Donc le topo, c’était: il faut aller en prépa, faire une Grande Ecole, et ensuite travailler pour une grande entreprise française.

C’est exactement ce que j’ai fait! Diplômé de l’ESSEC après prépa, avec une spécialité en Immobilier (diplômé de la Chaire Immobilier et Développement Durable), j’ai travaillé pour Legrand, une entreprise française du CAC 40, en tant qu’expatrié pendant 7 ans. La Russie et la CEI, Singapour et l’Asie du sud-est… les voyages ont été nombreux et l’expérience accumulée précieuse.

Mais de l’autre côté, notre père nous avait dit qu’il fallait investir en immobilier le plus tôt possible, et c’est pourquoi j’ai commencé en 2012, alors que j’étais encore étudiant, donc sans revenu. Oui, le zéro apport ça existait, mais ne vous inquiétez pas, ça existe toujours, tout dépend comment on monte notre dossier bancaire (module 5 de notre formation!). J’ai donc investi tous les 2 ans dans un nouvel appartement, puis j’ai accéléré à partir de 2018 avec des immeubles.

La gestion locative, c’est source de revenus, certes, mais c’est aussi source de problèmes. J’ai eu mon lot de soucis comme tout le monde – j’ai même eu quelqu’un qui est décédé dans un de mes appartements ! – donc j’ai fait le même constat que beaucoup d’investisseurs: les opérations d’achat-revente, c’est sûrement plus intéressant.

Mon frère avait déjà fait le pas avant moi, et je l’ai rejoint ensuite pour passer l’entreprise familiale à un autre niveau.

Des hésitations avant de se lancer à 100% en Marchand de Biens, il y en avait beaucoup, surtout quand on a fait de hautes études et qu’on pourrait vivre d’un salaire confortable dans une grande entreprise. Pourquoi s’embêter à “repartir de zéro”?

Il s’avère que je gagnais un salaire à 6 chiffres bien avant mes 30 ans, et pourtant, 1 jour sur 2, je n’étais pas motivé pour aller au travail. Les pauses café interminables à parler de tout mais surtout de rien avec les collègues, l’absence de pouvoir de décision sur certains sujets car on est “trop jeunes”, et la lenteur du processus décisionnel dans ces entreprises ont eu raison de moi.

Il fallait se poser les bonnes questions: qu’est-ce que j’ai ENVIE de faire dans la vie, et dans quel BUT?

Moi qui déteste avoir une routine toute tracée, le métier de Marchand de Biens m’allait parfaitement: on n’a pas 2 fois la même journée, on doit travailler autant sur ordinateur que sur chantier, et on a beaucoup de relationnel clients / partenaires, que j’apprécie énormément.

Car une de nos MISSIONS chez Acheteur de Maisons, c’est justement d’aider nos clients à atteindre leurs objectifs: se construire un patrimoine (nous aidons de nombreux primo-accédants à acheter à moindre coût et nous les accompagnons dans la mise en place et l’agrandissement de leur patrimoine, nous les aidons dans leurs choix stratégiques, dans l’accompagnement administratif et financier…). C’est un vrai plaisir de pouvoir aider des gens à monter en compétence en immobilier et devenir autonome pour se créer des empires immobiliers!

Je cherchais un équilibre pro-perso, car j’ai une femme et 2 enfants en bas âge, et comme tout le monde, j’ai envie de passer le maximum de temps avec eux. Pour beaucoup, créer une entreprise est incompatible avec une vie de famille, car on cherche sans cesse à faire grandir l’entreprise, et on doit y consacrer encore plus de temps que si on était salarié.

Encore une fois, le métier de Marchand de Biens permet cet équilibre, car même s’il y a du travail sur chaque projet, vous pouvez vous organiser pour avoir le temps de voir vos enfants grandir.

Désormais, je me lève tous les matins avec le sourire, je sais pourquoi je vais au travail, et j’ai ENVIE de continuer dans ce sens.